Disconnected Brain

DE LA GENÈSE DU GROUPE ...
Les premières lignes de l’histoire de Disconnected Brain s’écrivent fin 2007. Steeve Raffaelli (chant), Frédéric Pedretti (guitare) et Romain Plantefève (batterie) sortent d’une expérience commune au sein de « Metal Up Your Ass », groupe de métal local basé à Aix-les-Bains, en Savoie. A ce moment là, ils cherchent à fonder un nouveau groupe aux ambitions plus élevées. Ils font alors connaissance de Loïc Gilbert, guitariste expérimenté et de Romain Dehaese, un jeune bassiste au potentiel indéniable. Ces cinq passionnés de métal aux influences très diverses vont alors apprendre à se connaître en montant un répertoire de reprises retraçant près de 30 ans d’histoire de leur style musical préféré. De Metallica à Disturbed en passant par Pantera, ils écument les petites scènes locales, fêtes de la musique et autres bars qu’ils font bouger avec ces tubes connus de tous.

...A LA CRÉATION
Mais très vite, Disconnected Brain ressent le besoin de créer sa propre musique, son propre son, son propre univers. Les années 2009 et 2010 sont donc essentiellement consacrées à la composition. Chaque nouvelle création suscite des réactions plus que positives de la part du public. Encouragés par les applaudissements, ils redoublent d’efforts pour écrire encore d’autres titres avec en ligne de mire l’objectif d’enregistrer leur premier E.P., sur lequel ils aimeraient faire figurer six titres.

RENCONTRE AVEC LE MANAGER
C’est au début de l’été 2010 que tout va s’accélérer. Disconnected Brain dispose à présent de ces six compositions et prévoit de les enregistrer dès la rentrée. Au soir du 21 juin, fidèles à leurs habitudes, c’est dans leur ville d’attache qu’ils se produisent pour la fête de la musique. Et c’est ce soir même qu’ils vont rencontrer Charles Bugeant, qui, avec vingt quatre années d’expérience dans le monde de la musique, possède un carnet d’adresses bien remplit. L’homme, qui a longtemps travaillé pour une grande maison de disques (entre autres), est épaté par le son de la formation savoyarde, par ses compositions, par son énergie, sa sympathie et par cette bonne humeur envoyée au public (très généraliste) qui en redemande… et reste stupéfait à l’écoute d’une reprise de Metallica (So What !), au final de leur show. Après avoir abordé les membres du groupe, celui que l’on surnomme « Charly » demande à les revoir dans un endroit un peu plus calme afin de discuter. C’est donc lors d’une sympathique soirée que va naître une nouvelle collaboration : Charly devient manager du groupe.

ENREGISTREMENT DU PREMIER E.P.
Comme prévu initialement, les cinq hommes débutent les prises de son au mois de Septembre 2010. Pour ce faire ils font appel à Patrick Viviand, un ami de longue date et ingénieur du son fraîchement diplômé qui accepte volontiers d’aider le groupe. Dans le même temps, l’association Disconnected Prod est créée pour gérer la sortie imminente du disque. Les musiciens prennent également contact avec Raphaël Dutoit, un illustrateur-graphiste, très bon ami du groupe lui aussi. L’enregistrement s’effectue les soirs et week-ends et durant quatre mois, Disconnected Brain va s’employer à ne rien laisser au hasard, à pousser la minutie à l’extrême parfois, que ce soit pour le disque en lui même ou pour les illustrations. L’objectif est clairement affiché : le groupe veut un résultat professionnel à 100% et les membres sont prêts à prendre le temps nécessaire pour y parvenir. Début mars 2011, c’est (enfin) la délivrance. Le disque est là, et c’est un grand moment d’émotion et de soulagement pour tous, membres du groupe comme collaborateurs. La galette, intitulée « descent into hell », n’a plus qu’à être mise en vente.

DIFFUSION ET PREMIERES CRITIQUES ENCOURAGEANTES
C’est à ce moment que Charly fait parler son expérience et son professionnalisme. Il profite de ces week-ends et de tout son temps libre pour renouer contact avec ses vieilles connaissances afin de placer au mieux l’E.P. qui, selon lui, est d’excellente facture. Ce sont d’abord les magasins proches géographiquement d’Aix-les-Bains qui proposent le CD à l’écoute et c’est un franc succès. Plus de cent exemplaires sont écoulés dans la seule FNAC d’Annecy, un record pour un groupe auto-produit selon les dires du responsable disques. Puis c’est au tour de Grenoble, Lyon, Givors, Saint-Etienne, Valence, Niort, Paris etc. d’accueillir la première création du groupe dans les plus grandes enseignes (Virgin, Fnac, Cultura, Gibert Joseph, Espaces culturels Leclerc...). Le groupe est désormais référencé au niveau national dans les réseaux FNAC, Cultura et Gibert Joseph. S’en suivent quelques show-cases en Fnac et là encore, le groupe fait mouche et les critiques sont élogieuses d’autant que les cinq hommes savent se rendre disponibles et se prêtent volontiers au jeu des séances de dédicaces... En parallèle, un exemplaire de « descent into hell » est envoyé à un certain nombre de webzines spécialisés, le groupe ayant le souhait de proposer leur musique aux oreilles de différents spécialistes. Les premières critiques ne tardent pas à tomber et le verdict est sans appel : ce premier opus plaît, il plaît même beaucoup ! Les différents chroniqueurs sont tous plus dithyrambiques les uns que les autres.

ET LE CLIP ..!
Dans les semaines qui suivent la sortie du disque, le groupe, toujours avide de nouvelles expériences et surtout de nouveaux défis, décide de tourner un clip durant l’été 2011 afin de pouvoir le diffuser dès le mois de septembre. Encore une fois, c’est le réseau d’amis que le groupe a su se créer durant ces quatre années qui va leur permettre de réaliser ce nouveau projet. Photographe, caméraman, acteurs, techniciens lumières...etc., tous se plient en quatre, le tout bénévolement pour tenter de faire éclore cette idée un peu folle, il faut bien l’admettre. Et encore une fois, le résultat est au rendez-vous. Le clip est aujourd’hui en visionnage sur Youtube, Dailymotion ainsi que sur le Myspace du groupe, avec comme prochain objectif une diffusion télévisuelle !

LES PROJETS DE DISCONNECTED BRAIN
Aujourd’hui et pour l’année 2012, le groupe a trois objectifs :
- Le premier étant évidemment de continuer encore et toujours à écrire afin de préparer le second opus, un album de 10 titres pour une sortie prévue au Printemps-Eté 2012.
- Le second est d’élargir la diffusion de «descent into hell» grâce à Charly qui continue ses démarches et ses prises de contact. Dès la rentrée 2011, c’est dans certaines FNAC parisiennes (celle de Montparnasse notamment) et autres grosses enseignes nationales, que leur création continue d'être commercialisée. Grâce à différentes mises en avant et autres points écoute dédiés, les amateurs peuvent le découvrir directement en magasin.
- Le troisième objectif du groupe, et non des moindres, est de passer à la vitesse supérieure en terme de “live”, car c’est sur scène que les Aixois se sentent réellement chez eux. C’est au contact du public qu’ils éprouvent tout le plaisir procuré par leur passion commune. Une tournée est donc actuellement en préparation avec déjà quelques lieux et dates qui se précisent.

Passion pour la musique, simplicité, amitié et esprit professionnel sont les valeurs qui unissent les musiciens de Disconnected Brain, leur manager, leur ingénieur du son ainsi que l’équipe vidéo qui les entoure, et ce pour encore longtemps on l'espère !

Thrash metal
Label : Disconnected Prod

Titres joués sur La Grosse Radio

Demolition - Titre diffusé 155 fois depuis le 07/11/2011