Né un beau jour de février 1997 vers 14h30 à Bastia, le petit Propagandass a tout pour mal démarrer dans la musique insulaire:
Une mère corse, un père californien et un vice prononcé pour les sports extrêmes font de ce jeune étranger, un extraterrestre sur une terre de tradition polyphonique.
Malgré une enfance anormale et turbulente, il est bon élève et après avoir obtenu son certificat de "REPET' AU FOND DU GARAGE", il entre à l'école de la scène...
...et là , c'est le drame...
Personne ne veut de lui, aussi bien les patrons de bars redoutant la destruction massive de leurs établissements, que le public qui préfère de loin la musique transcendantale des discothèques.
Incompris mais optimiste, il s'exile sur le continent afin de diffuser copieusement ses mélodies "Corsicaliforniennes".
Il s'enrôle alors dans le groupuscule de la milice punk rock nationale qui lui confie la mission suivante:
Exploser à grand coup de skatecore les principales bases françaises,
Terroriser le troisième âge
Et polluer le paysage musical avec une prolifération de CD douteux :
Une première démo « ready to blow » (2000) fut le fer de lance de cette révolution (qui bien sure sombra lamentablement dans l’oubli collectif), suivi quelques année plus tard d’un EP « coloscopy » (2004) confirmant l’idéologie complètement stupide et inutile du groupe.
Ce qui ne l’empêchât pas de jouer et se nouer d’amitié avec des musiciens tel que uncommonmenfrommars, dirty fonzy, conkoï, les Wampas...et bien d’autres qui n’ont pas été impressionnés par la taille et le charisme de ses membres
A noter aussi une apparition sur deux compilations pour l’année 2005 avec « Take the fast lane » (gobt records) et du côté du pays basque avec « Ipparaldeko » (lanetik records)
Apres un rapide changement de line-up (Arrivée de Rooliano à la basse sans douleur ni vaseline) le groupe prépare sa rentrée en studio (août 2006) pour l’enregistrement de son premier album qui fera danser avec un peu de chance leurs amis (les plus intimes), les nudistes ainsi que les cowboys gay