Ricardo Avalon est un trio formé en 2008 avec un projet artistique ambitieux : assumer le métissage musical de ses membres et offrir à l’auditeur un univers éclectique mais cohérent.
Entre slam, électro et rock, Ricardo Avalon affiche dès sa création une personnalité musicale marquée par les influences hétérogènes de ses membres et va puiser son inspiration auprès d’univers artistiques variés (Ennio Morricone, Paris, The Doors, Boris Vian, Stanley Kubrick, Gainsbourg, Steve Reich, Wu Tang, Blade Runner, Underground Resistance, Birdy, Miyazaki…). Ricardo Avalon intègre et adapte les codes artisitique de ces différents genres pour en prendre l’essence et façonner une musique instinctive et visionnaire, qui vit avec son temps.
Cette envie de composition hybride va prendre forme durant 2 ans de composition et d’enregistrement, débouchant sur la production de 12 morceaux, 12 univers musicaux, 12 envies différentes.
Voulant exploiter tout le potentiel de ses morceaux, l’enregistrement de l’album est marqué par des collaborations avec des musiciens pro comme Philipe Monrose (Brooklyn funk essential) qui joue les percussions pour « Dimanche le jour d’avant » ou le saxophoniste Stéphane Misol pour « Metropolyman ».
Le projet intrigue les professionnels, et les nombreux contacts établis débouchent en 2010 sur la sortie de leur premier Maxi Silence 2.0 – the reworks sous le label Marendadisc. Le groupe veut intégrer sa musique à un concept artistique global et accompagne la sortie de ce maxi en autoproduisant et réalisant le clip du morceau Silence 2.0.
En parallèle, le groupe ne se limite pas à un travail de studio et se lance dans l’adaptation de ses morceaux pour des prestations lives. Face à la complexité des arrangements Ricardo Avalon recrute rapidement son 4ème membre afin de gérer les aspects électroniques du live.
Ricardo Avalon entame en 2010 sa « Tournée des Boudoirs », offrant au public un live éclectique, composé d’adaptation de ses morceaux et n’hésite pas pour l’occasion à réinterpréter des classiques comme le « Salut à toi » des Béruriers noirs ou encore « Vesoul » de Brel.
La tournée crédibilise le projet et lui ouvre les portes de salles tel que le Cavern’s Club, l’Abracadabar, la Royale Factory, le Centre culturel Louis Jouvet etc les faisant rencontrer un public de plus en plus nombreux, d’abord intrigué et finalement séduit par à cet univers à part.
slam/electro/rock