Brother Firetribe – Diamond in the Firepit

Voilà que 6 années ce sont écoulées depuis la sortie de Heart full of fire et Brother Firetribe revient en 2014 avec Diamond in the Firepit sous le label Spinefarm records.

Pekka Ansio Heino (chant), Emppu Vuorinen (guitare), Jason Flinck (basse et second chant), Tomppa Nikulainen (claviers) et Kalle Torniainen (batterie) frappent fort avec un album qui entre sans conteste comme une petite bombe de Rock Mélodique, mélange du Power métal actuel et du Hard Rock années 80.

Traduction d’une réussite :  

Brother Firetribe à trouvé son crédo, sa perfection, une musique puissante, entrainante, forte d’une voix convaincante et d’arrangements tout simplement impeccables.

Pekka Ansio Heino s’accompagne de cœurs qui donnent la pêche à l’auditeur, les refrains sont amenés crescendo comme une compo utilisée sur un montage d’entrainement de Rocky, vous saisissez ? Evidemment ! Je parle là d’une chanson qui reste, de refrains qui nous font nous lever et chanter sous la douche à l’image de « Edge of forever » , « Trail of tears » ou encore « Winner takes it all ».

Brother Firetribe

L’efficacité des titres des années 80  auprès du public comme ceux de Survivor, Journey ou Bon Jovi réside dans leur capacité à créer ce plaisir unique aux toutes premières secondes d’écoute du titre. Une guitare et un clavier dominants, lançant un air puissant et facile à retenir qui vont procurer cette sensation de bien être, de bonheur et ces petits frissons dans la nuque. Voilà ce dont je parle avec Diamond in the firepit !

9 titres sur 12 donnent cet effet  ! Seul reproche, des compos qui finissent par se ressembler, bien que chacune vous procure sa propre dose de dopamine !

L’intro elle seule annonce la couleur du style de Brother Firetribe ; des sons de calibrages, une voix qui s’échauffe, une clavier qui tente un air et BIM ! La première compo, one, two, three, four !  c’est « Far away from love » qui démarre, avec cet entrain qui osera vous lâcher par de rares moments pour mieux vous reprendre dans d’infernales riffs d’Emppu Vuorinen.

S’en suit « For better of for worse », je choisi pour le meilleur et laisse le pire aux autres, le rythme est lancé, votre plaisir arrive à son paroxysme, vous atteignez ce pic du plaisir au refrain, et vous en attendez encore plus, et là, arrive le solo d’une guitare saturée à souhait qui s’efface doucement pour laisser place à la conclusion brutale d’un titre qui vous laisse malheureusement sur votre faim.

Vous serez rassasiés de la suite, « Edge of forever », mon coup de cœur de l’album, un super titre offrant tout ce qu’un rockeur 80’s recherche : guitare saturée, clavier omniprésent, voix puissante, et refrain qui se fait désirer, sans oublier ce petit temps de latence qui annonce un solo à la RATT.

Brother Firetribe marque un autre bon point en gardant une qualité constante sur l’album, les derniers titres s’écoutent avec autant d’entrain que le début bien qu’ils perdent en énergie, plus de piles (batterie) ? Pourtant si, « Reality bites » continue sur la même lancée et vous rassasie pour de bon avant de vous faire digérer cette claque des générations avec « Close to the bone ».
Une dernière compo qui achève parfaitement un très bon album, et confirme votre idée que Brother Firetribe réussi où d’autres ont échoué; sauter 30 ans de musicalité en rafraichissant un son qui parait vieillot mais qui remet clairement au goût du jour l’énergie du rock mélodique des années 80.  

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NOTE DE L'AUTEUR : 8 / 10



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