After Show avec Dancefloor Disaster au Hellfest 2012


Dancefloor Disaster au Hellfest 2012

Espace VIP

 

« Paye ton V.I.P. ! »

Mais qui a dit que les VIP ne savaient pas s'amuser ??

Non parce qu'il ne faut pas croire que nous nous contentons de courir toute la journée après les interviews et à travailler quand même ! Bien sûr, on fait le maximum pour vous !!

Mais la nuit, elle est à nous ! Et on fait la mega teuf ! Et pour cause, si seulement vous aviez prévus d'aller dormir, vous étiez stoppés net dans le Bar VIP où les gars de Dancefloor Disaster foutaient le feu tous les soirs !

 

Avec un écran au-dessus de la scène, nous pouvons admirer la fin des derniers concerts de la soirée, comme le mémorable Ozzy Osbourne ou King Diamond sous la pluie.

Mais à l'intérieur ? A l'intérieur il fait chaud !!

 

La bière coule à flots et tous les gens dansent en voyant l'ambiance qui grandit. Au bout d'un moment, c'est toute la salle qui est sur le dancefloor. Vraiment, tout le monde.

 

 

Comme leur nom l'indique, les Dancefloor Disaster sont armés de ce qui se fait de pire en matière de Dance, de House, et autres « musiques du monde », savamment mixés à la sauce métal. Mélangez ça à une prestation scénique violente, interactive, admirable et vous obtenez un truc de malade mental.
 

Armés de leurs instruments de destruction massive, comme une guitare Hello Kitty (qui a la fâcheuse tendance à tomber en panne), ils sautent de partout, font participer le public et nous font chanter du Lady Gaga en version « Lady Gras Gras » ou du « Mr Vain » de Culture Beat, ou encore 2 Unlimited «  No limits », le tout en version metal !
 

Pendant le concert, de sublimes créatures font du lapdance en petite tenues et le public masculin semble soudain étrangement poussé vers le devant de la scène.

 

Priscilla Jones

Et je vous passe les petits détails rigolos notamment la présence des artistes, comme certains Black Métalleux que je ne dénoncerai pas ici qui chantent et dansent sur Scatman ! Non, j'ai dit que je ne dénoncerai pas Endstille.
 

Mais les étiquettes sont vite oubliées et les gens deviennent dingues. L'ambiance que ce groupe arrive à créer est tout simplement endiablée. Entre chenille, sauts, la salle a tremblé au rythme du dancefloor. Même les plate-formes qui permettent de descendre du bar n'ont pas tenu.

 

Un groupe qui a permis à l'équipe de se retrouver le soir dans le bonheur simple. Un groupe énorme auquel nous voulions rendre hommage. 

 

 


Katarz


 

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