Dagoba et Punish Yourself au Divan du Monde (05.12.2013)


Pour cette quatrième édition du Festival Bring The Noise on peut dire que Ouï FM à fait fort et pour cause, après avoir permis à de nombreux fans de voir Billy Talent et Apocalyptica les soirs précedents cette fois ci c'est au tour de Dagoba de faire du bruit au Divan du Monde accompagné d'une première partie toulousaine : Punish Yourself.


 

PUNISH YOURSELF


Punish yourself est le premier groupe de cette troisième soirée du Festival Bring The Noise.

On note d'emblée la scène aux couleurs fluorescentes, les squelettes et la petite porte battante en forme de cœur ornée de fleurs par où les musiciens et la danseuse entre en scène.

Le groupe toulousain entre en scène devant un public en forme qui ne se gêne pas dès les premiers instants à pogoter et bousculer les photographes en ligne de front qui n'ont la possibilité de mitrailler le groupe de photos que lors des trois premières titres joués.

Une belle heure de show pour Punish, haute en couleur, chargée en alcool (on verra même le chanteur faire tomber et éclater une bouteille de vodka par terre sur la scène), "hot" avec une danseuse aux costumes atypiques qui entrait en scène tantôt avec  une scie circulaire, tantôt avec des éventails enflammées et bien évidemment un groupe plein d’énergie. 

Punish yourself est un groupe qui en jette et qui donne clairement envie de secouer la tête et remuer son popotin.
 

 

Setlist :

She Buys Me Drugs
Rock'n'roll Machine
Come on Come on
Compagneros
Zmeya
Mothra Lady
Zombie Room (All You Zombies)
(Let's Build) A Station in Space
Spiders 375 Necromancers
Las Vegas 2060's
This Is My Body, This Is My Gasoline
Enter me Now
Nation to Nation 

DAGOBA


Après un cours instant, voilà le groupe tant attendu par une bonne majorité (pour ne pas dire totalité) du public : le groupe marseillais Dagoba, qui revient tout juste d'une tournée américaine avec Dir En Grey.

 

Et c'est parti, comme à son habitude, Franky, le "préféré" comme Shawter le souligne durant le concert, chauffe la salle avant l'entrée des autres membres du groupe sur  scène.

 

Le premier morceau choisi pour ouvrir les hostilités est le puissant "I, Reptile" extrait du dernier album intitulé Post Mortem Nihil Est. Le groupe est en forme, ça se voit, et la foule l'est tout autant si bien qu'un wall of death se forme rapidement à la demande du groupe.
 


 

Malgré un jeu de lumière un peu trop bleu à mon goût (j'aurais aimé voir plus de couleurs chaudes), le groupe est performant, souriant et proche du public (pas étonnant qu'ils aient fait des heureux (-euses) outre-atlantique).

 

Ça bouge dans tous les sens, autant sur scène que dans la fosse et au fur et à mesure que les morceaux défilent, les fans surexcités se précipitent sur la scène pour tenter de « stage-diver ». Les morceaux tels que « Black Smokers », « It's All About Time », « The Great Wonder » font l'unanimité et ont le voit à la folie grandissante du public.
 

 

Le concert prend fin avec un rappel efficace « The Things Within » et « The White Guy (and the Black Ceremony) », avec un Shawter proche du public comme jamais puisqu'il va chanter tout un morceau dans la fosse, entouré de ses fans et va conclure avec un stage dive avant de remercier le publique et quitter la scène avec le groupe. 

 

Voilà une belle soirée qui s'achève !


Setlist :

I, Reptile
The Man You're Not
The Nightfall and All Its Mistakes
When Winter
Black Smokers (752° Farenheit)
The Fall of Men
It's All About Time
The Great Wonder
Degree Zero

The Things Within
The White Guy (and the Black Ceremony) 

 

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