The Pixies – Phoner à  Turin avec David Lovering

30 septembre, c’était la date fatidique.
C'était la sortie officielle d'Head carrier, le nouvel opus des Pixies.

C‘était la date qu’il fallait dépasser pour pouvoir partager avec vous ce moment à peine croyable d’une discussion tranquille au téléphone, quelques minutes avant que le groupe n’entre sur la scène du Flowers festival de Turin avec David Lovering, batteur des Pixies.

Interview qu’il faut garder pour soi pendant plus de 2 mois parce qu’il ne faut pas que soient dévoilés les secrets du nouvel album. Je l’ai alors conservée bien au frais ou au chaud (y’a plus de saison) pour qu’elle soit prête, à point, pour vous au moment opportun.

Et pis j'ai laissé filer le 30... Rebelle rebelle... et dépassée par le timing !

Il faut dire que Head Carrier fait l’objet de beaucoup d’attention.
Il faut dire que cet album est une tuerie et que nous assistons là à la naissance de grands classiques du genre. Moderne par la qualité et le propos, classique par la maitrise stylistique et esthétique des compositions… mais nous en reparlerons dans la chronique de l’album qui suivra sans doute très bientôt.

En attendant, cette conversation avec un des Pixies fait partie des petits phantasmes de vieux (et vieilles) musicien(ne)s ou mélomanes averti(e)s et de bons gouts qui se retrouvent par magie à pouvoir palabrer avec ceux qu’ils ont suivi depuis leur premier émois musicaux… et là…


F… awesome, I did it ! How lucky I am !


Contexte : C’était l’été. Après un concert plein depuis des lustres aux nuits de fourvière le 20 juillet dans le magnifque bijou qu’est le théatre antique des collines de Lugdunum (Lyon pour les moins intimes), les Pixies sont partis rapidement du coté de Turin pour leur concert suivant, le lendemain.

Posé dans son hôtel de passage, David Lovering attrape le téléphone que lui tend un agent (pas secret) de sa maison de disque…

- Hi David, this is Bérénice
- Sorry, what’s your name again ?
- Bé-ré-nice…Beureunaïce if you want...

Voilà le premier écueil d’une communication réussie !

 


David Lovering est un gentleman et un professionnel. Attentif, il se plie gentiment à l’exercice du jingle après 20 minutes d’interview et répète inlassablement la grôôôsse Waïdiô jusqu’à ce que je lui indique que ça me va.
Merci La Grosse Radio, merci Pias, la maison de disque, merci les Pixies et David Lovering qui porte bien son nom.
Je ne suis pas fan dans l'âme, mais franchement, j’ai kiffé ce moment.
A vous ! Enjoy ! 
 

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